Over Diana Ozon

Diana Ozon is dichter, auteur, performer, tekenaar en gast- docent. Ze publiceert sinds '77 is bevlogen podiumfenomeen, treedt solo op en soms met muzikale begeleiding.

Agenda

t/m 2024 - Amsterdam

Wereldmuseum, Things That Matter

(lees verder)

5 Juli - Amsterdam

Presentatie Wally Tax Tribute in Paradiso

(lees verder)

29 Juni - Dordrecht

Woordfestival

(lees verder)

22 Juni - Swifterband

Sunsation Festival

(lees verder)

2 Mei - Amsterdam

Literaire lunch in de Koninklijke Industrieele Groote Club

(lees verder)

25 April - Amsterdam

Poëzieavond in buurtkamer Parlarie



19 April - Amsterdam

Onthulling monument Ilse Starkenburg Zoutkeetsplein



11 April - Breda

Dichten om te herdenken op het OLV

(lees verder)

25 Mrt-Eindhoven

Stap op de Rode Loper!

(lees verder)

16 Maart - Amsterdam

LP release Nadagen in Zaal 100

(lees verder)

4 Maart - Utrecht

Stap op de Rode Loper!

(lees verder)

17 Feb - Leiden

Presentatie punkstrip Patty Pin in de Vrijplaats/Resistor

(lees verder)

14 Feb- Amsterdam

Poetry Musica op Het Einde van de Wereld

(lees verder)

22 Jan 2024 - Amsterdam

Stap op de Rode Loper!

(lees verder)

14 dec t/m 14 feb - A-dam

Foto's en gedichten in OBA van Hallstraat

(lees verder)

14 dec - Amsterdam

Expo foto's en gedichten in Openbare Bibliotheek Staatsliedenbuurt

(lees verder)

2022 t/m 2025 A-dam

Amsterdam Museum-vleugel in de Hermitage

(lees verder)

Leuke websites

Lehmann's praatjes

De Muziek van Louis Lehmann (1920-2012)

(lees verder) Ludwig Wisch

Wekelijks op Razo Radio

(lees verder) Mijn moeder
Zilveren sierraden van
Cilia Groenveld Oorlogsmateriaal
mag niet verloren gaan (lees verder) Olie Buma
De punkheld op wielen rolt over het web oliebuma.nl (lees verder) Mathilde muPe

MATHILDE μP Personal web overdose van een digitale pionierster.

(lees verder) Muurgedichten
Leiden brengt bijna 100 gedichten op de openbare weg en op internet. Muurgedichten.nl simonvinkenoogpuntenel

Een website met meer dan herinnering simonvinkenoog.nl

VPRO's boekensite

hier is een leuke website over boeken

Home/Ga naar de voorpagina
Bestel Diana Ozons dichtbundel Zwerfzang. De bundel, 48 pagina's gebonden in harde kaft kost €19,90 en is hier verkrijgbaar.

Redactie | 01 Maart 2004Paradiso Stills (Français)

klik voor vergrotingParadiso, temple 'pop' situé Leidseplein à Amsterdam et jadis synonyme de 'flower power' a été brutalement éveillé pendant la deuxième moîtié des années '70 par nombre de nouveaux groupes qui, jouant de la musique d'une façon acharnée, ardente et rapide, ont transformé le temple 'hippy' endormi en enfer Punk. Aujourd'hui tout cela fait déjà partie de l'histoire, les gens et les choses ayant changé beaucoup, ce n'est que ce qui a été fixé, qui subsiste en tant que flash. Un compte rendu 'Fanzine' de 1979 (d'un concert des 'Members', apparu dans Koecrandt 32) nous apprend:
'...L'assistance persistait dans ses activités, dansait fougueusement le pogo, des douzaines de punks grimpant sur l'estrade ont d'abord été relancés, mais bientôt il était impossible de les arrêter. Pendant leur deuxième come-back, l'estrade était bondé, mais cela ne gênait pas du tout le groupe...'
Le public a sacrifié des flots de bière. Entretemps des flux de salive, des écrits subversifs, des vêtements, l'écume des extincteurs, des cuves d'eau, de la peinture et des pièces d'artifice volaient de part et d'autre, bienque la devise 'Solo Deo Gloria' inscrite au-dessus du groupe attribue toute gloire à Dieu. Des phares de voitures transparaissaient au passage à travers les hauts vitraux.
Dans l'obscurité étouffante la foule en délire, luisant de sueur, dansait avec exubérance sur le piste de danse glissant. Quant portes latérales, on essayait ardemment de les ouvrir de l'intérieur, la salle étant comble, les gens dehors fauchés comme des blés, ou tout simplement pour prendre l'air. Près du vestiaire, sur les flippers, près du téléphone et sur les lattes de l'architecture néo-classique, on roulait les 'joints' debout, l'époque de la postion horizontale étant passée et, tout comme la position assise, considéerée comme trop passive.
Je ne m'attarderai pas sur les bagarres qui glaçaient le sang, c'est trop répulsif, la plupart des gens venaient pour danser, fumer un 'joint', boire un coup et pour nouer des contacts. Dans la salle il y avait partout des endroits fixes où les différentes bandes de copains se rassemblaient lorsqu'il y avait un monde fou à assister aux concerts. Pas l'ombre d'une chance de lier conversation avec quelqu'un, parce que la plupart du temps la musique était si forte que vous vous érailliez la voix à crier et qu'à bout de quelques heures, rentré chez vous, les oreilles vous cornaient toujours.
'Elle est bien rauque, ta voix!' 'Eh bien, oui, hier j'étais au Par'.'
Pour apprendre des nouvelles et faire des affaires, il fallait passer au corridor. La plupart des débats s'engageaient près des toilettes. Certains y passaient une bonne partie de la soirée. Le livre d'or, c'était l'intérieur des portes du petit coin, mais le graffiti y était interdit, lorsque vous vous faisiez prendre sur le fait, il vous fallait tout repeindre, et pendant un bon bout de temps l'entrée était refusée à l'un des maîtres du graffiti de la capitale.
Le régime de la direction de la boîte, c'était celui d'un pensionnat très sévère. Pour faire durer l'heure de clôture, il fallait faire des avances aux videurs, qui connaissaient tous par coeur tous les pots de colle, si l'on faisait la grève perlée, ils nous priaient l'un après l'autre de nous en aller. Alors le sol était couvert de chopes en plastique écrasés, et on finissait par se faire balayer vers la sortie, accompagné du craquement du plastique. A cette heure-là les 'young and beautiful' s'en étaient allés depuis longtemps, seule l'écume de la ville restait.
Parmi les fervents visiteurs de Paradiso se trouvait Max Natkiel. Tout en se divertissant, il comprit la nature passagère de tout ce qu'il y recherchait tous les jours avec tant de plaisir.
A partir de 1980 il s'est décidé d'apporter aux concerts et aux soirées de circonstance sa caméra, afin d'arrêter la fugacité. Il a donc tout juste eu le temps de reproduire pour la postérité la fin de la première vague 'punk', la transition aux années 80 et sa diversité de Skins, Rude Boys, Rastas, Rockers, Moluquois, Teds, Mods, Autonomes, Heavy Metal Rockers et les Punks toujours, tous photographiés au sein de leur foyer de rencontre international et subculturel. Parmi les enrégistrés il y en a pas mal qui sont des copains anonymes de Max Natkiel.
Il ne s'agit tout de même pas d'un reportage photographique sur Paradiso - nulle part se représente l'image du temple 'pop' bourré de monde - mais plutôt d'une série de milliers et de milliers de portraits de ses auditeurs, représentant au fil des ans l'ambiance de toute une génération, et fixés d'une telle manière qu'ils dégagent plutôt une impression de solitude. Paradiso, c'était le lieu de rassemblement des solitaires qui s'écartaient de la mode prédominante et constituaient par leur préférence musicale commune de nouveaux clans farouches.
C'est l'aspect extérieur qui devenait le média qui convenait à refléter les sentiments intérieurs. Des miroirs, il y en avait partout, en attendant votre bière au bar fourmillant vous vous voyiez dans la glace, parmi les autres spectateurs, la face toute blême et vivement éclairée par la lumière au néon. Des miroirs qui vous permettaient de vous examiner four la mise-en-scène du film dans lequel c'était vous le héros ou l'héroïne, simplement puisque vous étiez né.
Le film dans lequel chaque individu concevait lui-même ses textes, costumes, maquillage et coiffure, et dont le scénario ne s'est jamais fondé sur la libre imagination, mais toujours sur un réalisme véhément. Or, pour le film qui s'est déroulé au Paradiso, c'est Max Natkiel qui a fait les photos à exposer dans la vitrine, les STILLS dans le milieu professionel.
Ce livre-ci constitue la vitrine du cinéma ou 'Cerveau humain', dont l'écran ne nous montre, à cause d'un détraquement perpétuel, que de la neige, jusqu'au moment où une photo y apparaît, qui extraira de notre mémoire un film plein de réminiscences. Les photos se rapportent toujours au passé

Diana Ozon

Traduction en français par Anneke Pijnappel



Paradiso Stills

Max Natkiel, photographie

Diana Ozon, texte

Publie par: Stichting Fragment Foto 1986

ISBN 90 65790 179

Néerlandais ici: Paradiso Stills

Traduction Anglais: Paradiso Stills (English)

Documentaire du cineast Alfred Broer au IDFA: Punk Lang Leve De Lol 

 

Biographie Diana Ozon





These icons link to social bookmarking sites where readers can share and discover new web pages.
  • Facebook
  • Google
  • LinkedIn
  • Twitter


Home/Ga naar de voorpagina

Zoeken

Sociale media

Diana's Facebookpagina
Diana doet Tweet-tweet Diana's LinkedIn-pagina
Diana's oude punkfoto's

links

de Schrijvers Centrale
Uitgeverij Passage
In de Knipscheer
 
Literatuur Museum
Koninklijke Bibliotheek
Openbare Bibliotheek
Digi. Bib. NL
Antiquariaten
 
NL Poëzie Encyclopedie
Rottend Staal
VPRO boeken
Meander
Tzum literair weblog
Passionate Bulkboek
Literatuurplein
Schrijvers Startkabel
 
De Nieuwe Oost
Crossing Border
Poetry International
SLAA
Het Literatuurhuis
Perdu
Zaal 100
Ruigoord
Festina Lente
 
Didi de Paris
Tom Lanoye
Dorpsoudste de Jong
Rick De Leeuw
Simon Vinkenoog
Ton Lebbink
Bart Brey
George Moormann
Bart Chabot
Johnny Van Doorn
Jules Deelder
Pamela Koevoets
Adriaan Bontebal
Linton K. Johnson
Lydia Lunch
Paul Schaaps
John C. Clarke
Hugo Claus
Harry Mulisch
Remco Campert
Atilla The Stockbroker
Anne Clark
Astrid Roemer
L. Th. Lehmann
Jana Beranová
H.H. ter Balkt
Jean Pierre Rawie
Gabriel Szmulewicz
Rik van Boeckel
Edgar Cairo
Gerry van der Linden
Koos Dalstra
Aja Waalwijk
Johan Joos
CB Vaandrager
Jaap Blonk
Bert Schierbeek
Hester Knibbe
Willem van Toorn
Marga Kool
Judith Herzberg
Jan Eijkelboom
Neeltje Maria Min
Scott Rollins
Joke Van Leeuwen
Huub Van Der Lubbe
Rita Dove
Leo Vroman
Hanny Michaelis
Sybren Polet
Julian With
Esther Jansma
Maria van Daalen
Herman De Coninck
M Vasalis
Rogi Wieg
Judith Mok
Elma van Haren
Carla Bogaards
Vital Beaken
Erik Lindner
Henkes&Bindervoet
Frits Criens
Jan Kal
Micha de Vreede
Hans Verhagen
Louise Landes Levi
Eddie Woods
Baafje Wezelman
Leo Van Der Zalm
Birgit Parinussa
Grazyna Przybyl
Hans Plomp
Moustafa Stitou
Menno Wigman
Kristien Hemmerechts
Gerrit Komrij
Bart FM Droog
Tjitse Hofman
Tsead Bruinja
Elly De Waard
Chawwa Wijnberg
Titi Zaadnoordijk
Jack Nouws
Benjamin Zephaniah
Joost Zwagerman
Pieter Boskma
F. Starik
Rene Huigen
Arthur Lava
Olaf Zwetsloot
Serge Van Duijnhoven
Ruben Van Gogh
Erik Jan Harmens
Ilse Starkenburg
Hagar Peeters
Ingmar Heytze
Vrouwkje Tuinman
Harry Zevenbergen
Kamiel Proost
Albertina Soepboer
Andy Fierens
Tjitske Jansen
Nisrine Mbarki
Sven Ariaans
Lucas Laherto Hirsch
ACG Vianen
Anne van Amstel
Quirien van Haelen
Daniël Dee
Catharina Blaauwendraad
Hannie Rouweler
De Woorddansers
Rien Vroegindeweij
Gijs ter Haar
Der Peter
Racker Z
Anneke Claus
Penny Rimbaud
John S Hall
Mia Mia
Adriaan Jaeggi
Hans Kloos
Robin Block
Alexis de Roode
Def P.
 
Wim T Schippers
Wim de Bie
Willem de Ridder
Kuifjes log
 
De Agenda van NL
Cultuurnet
Openbaar vervoer
(Land)kaarten
Weerberichten
 
Space weather
Sterren aktueel
Visible Earth
Global volcanism
Earthquake
BBC tech/sci/nat
Veldbiologie
 
Tonie's startpagina
Alle kranten
NL kranten
 
Indymedia
Vrije Radio
Squatnet
Ravage
Tactical Media Files
Nettime
Webwereld
 
Wil Schmal
Obed Brinkman
Lielian Tan
Popinstituut
Armand
Mecano
Helmettes
Inside Nipples
The Filth
Fatal Flowers
De Kecks
Dubbel Mono
The Ex
De Vopo's
The Nitwitz
Heideroosjes
The Scene
Yawp
Nina Hagen
Jan Rot
Marc Van Bekkum
DJ Peran
Rasta Robert
Renee Stevense
Punk pagina
Punx
Nederpunk
punksquad
Musique d'Afrique
 
Lambiek
Cartoonists index
Fokke & Sukke
Graffiti
Hugo Kaagman
Mathilde muPe
Cilia Groenveld
Det Digit
Xybertag Artburo
Debra Salomon
Erik Hobijn
Bib. Bajazzo
Jan Bianchi
Thomas Schlijper
RijksMuseum
De Waag
IBW
Azart
Chiellerie HPVK
Galerie De Etna
Illuseum
Galerie Posset
Damoclash
  XML: RSS Feed
  Draait op PivotX - 2.3.11